Albert Lichten

La durée – Promenades

Sommaire

Sur le thème de la durée, il m’est difficile de présenter une série limitée de mes toiles, tant ce thème est dominant dans ma peinture, comme on a pu s’en rendre compte. Je me contenterai ici de quelques exemples, certans inspirés du midi méditerranéen, d’autres de la campagne – nivernaise.notamment- , d’autres de Paris et de ses alentours.

Promenades dans le midi méditerranéen

Albert Lichten - Plusieurs chemins pour descendre à la mer - 2005 - huile/toile - 92 x 73 cm

Il ne s’agit pas ici  de la vue plongeante d’un observateur immobile, mais d’une découverte successive – comme en témoigne la pluralité des points de fuite – qui est restituée dans une simultanéité.

Albert Lichten - Le grand escalier du Rayol- 2000 - huile/toile - 92 x 73 cm

Belle volée d’escaliers, bordée de lauriers roses, qui descend à la mer. Mais il ne s’agit pas, là non plus, de la vue plongeante d’un observateur immobile. Ce grand escalier peut simultanément être monté et descendu par le spectateur. Dans cette descente – ou montée – le promeneur grisé emporte avec lui tout l’espace environnant.

Albert Lichten - Champ d'amandiers dans le massif des Maures - 2000 - huile/toile - 92 x 73 cm

Il existe une route qui commence au col du Canadel et qui aboutit au-dessus du Lavandou : c’est la Route des Crêtes. Elle est boisée, fort belle, mais difficile, car sinueuse et bordée de précipices. Au détour d’un virage, j’ai vu apparaître peu à peu dans ce paysage aride et broussailleux, les couleurs tendres d’un champ d’amandiers. C’est la durée de cette découverte que j’ai voulu restituer. Et j’ai bien fait, car ce champ d’amandiers, sans doute peu rentable, a disparu depuis

Albert Lichten - Promeneurs dans le sentier côtier de Gigaro - 2002 - huile/toile - 60 x 73cm

Les horizons, les parties du paysage occultées ou découvertes, varient selon l’endroit où se trouve chaque promeneur dans sa marche.

Albert Lichten - En chemin vers le cap Lardier - 2004 - huile/toile - 60 x 73 cm

Pour accéder au cap Lardier, il faut se frayer un chemin dans un sentier très étroit, à travers une flore méditerranéenne très touffue. Le promeneur y disparaît vite à la vue.

Albert Lichten - Le retardataire - 2006 - huile/toile - 73 x 54 cm

Le trainard se hâte maintenant vers ses amis, qu’il aperçoit de l’autre côté de la dénivellation.

Albert Lichten - Joggers dans le chemin de terre de Gigaro I - 2005 - huile/toile - 73 x 50 cm

Le chemin tourne beaucoup dans ce paysage accidenté. Les plans glissent les uns sur les autres au gré du vent de la course.

Promenades dans la Nièvre

Albert Lichten - A la découverte de ta maison natale - 2002 - huile/toile - 73 x 60 cm

Ce fut ma première rencontre avec la Nièvre, il y a bien des années ; mais ce ne fut pas la dernière…

Albert Lichten - Dans la Nièvre, après la canicule - 2003 - huile/toile - 73 x 54 cm

Cette toile résume une promenade dans les champs, au-dessus de la maison.

Albert Lichten - A travers les collines de la Nièvre - 2004 - huile/toile - 73 x 54 cm

C’est vraiment une très belle région, avec ses champs  qui grimpent a l’assaut des collines. Joie de découvrir à chaque fois un nouveau versant et de le mémoriser.

Albert Lichten - Le tour des vignes de Saint Andelin - 2005 - huile/toile - 73 x 60cm
Albert Lichten - Les Lacs ( le village aux lacis ) - 2002 - huile/toile - 73 x 60 cm

Ceci  peut aussi bien être considéré comme un portait de lieu. Mais sa struciure ne s’est découverte qu’à ma mémoire, refaisant dans ma tête les tours et détours  que nous avions suivis, mes compagnons et moi, dans ce village au nom si évocateur.

Promenades en Ile-de-France et dans Paris

Albert Lichten - Au dessus des méandres de la Seine - 2001 - huile/toile - 92 x 73 cm

Une belle journée de septembre, très chaude, au nord ouest de Paris, près de La Roche Guyon. Nous étions trois et suivions en file indienne un sentier crayeux. En contrebas, la Seine déroulait ses méandres à travers les champs. La marche des personnages est rythmée par les arbres qui jouent le rôle de barres de mesure.

Albert Lichten - Rendez-vous aux rhododendrons du Parc Floral - 2004 - huile/toile - 92 x 73 cm

Chaque printemps, le Parc Floral expose ses rhododendrons dans la pinède Or voici ce que ni la photo, ni le cinéma ne peuvent faire : rassembler dans une simultanéité le parcours capricieux des promeneurs autour des bosquets de pins et des massifs garnis de fleurs ; on peut espérer que les deux partenaires du rendez-vous finiront par se trouver !

Albert Lichten - Couple traversant le square Le Gall à Paris - 2001 - huile/toile - 60 x 73 cm

Il fallait déjouer les pièges de la perspective classique, et faire avancer en quelque sorte l’espace découvert que l’on aperçoit entre les arbres de l’allée, et que traverse notre couple de promeneurs.

Sur le thème de la durée, il m’est difficile de présenter une série limitée de mes toiles, tant ce thème est dominant dans ma peinture, comme on a pu s’en rendre compte. Je me contenterai ici de quelques exemples, certans inspirés du midi méditerranéen, d’autres de la campagne – nivernaise.notamment- , d’autres de Paris et de ses alentours.

Promenades dans le midi méditerranéen

Il ne s’agit pas ici  de la vue plongeante d’un observateur immobile, mais d’une découverte successive – comme en témoigne la pluralité des points de fuite – qui est restituée dans une simultanéité.

Belle volée d’escaliers, bordée de lauriers roses, qui descend à la mer. Mais il ne s’agit pas, là non plus, de la vue plongeante d’un observateur immobile. Ce grand escalier peut simultanément être monté et descendu par le spectateur. Dans cette descente – ou montée – le promeneur grisé emporte avec lui tout l’espace environnant.

Il existe une route qui commence au col du Canadel et qui aboutit au-dessus du Lavandou : c’est la Route des Crêtes. Elle est boisée, fort belle, mais difficile, car sinueuse et bordée de précipices. Au détour d’un virage, j’ai vu apparaître peu à peu dans ce paysage aride et broussailleux, les couleurs tendres d’un champ d’amandiers. C’est la durée de cette découverte que j’ai voulu restituer. Et j’ai bien fait, car ce champ d’amandiers, sans doute peu rentable, a disparu depuis

Les horizons, les parties du paysage occultées ou découvertes, varient selon l’endroit où se trouve chaque promeneur dans sa marche.

Pour accéder au cap Lardier, il faut se frayer un chemin dans un sentier très étroit, à travers une flore méditerranéenne très touffue. Le promeneur y disparaît vite à la vue.

Le trainard se hâte maintenant vers ses amis, qu’il aperçoit de l’autre côté de la dénivellation.

Le chemin tourne beaucoup dans ce paysage accidenté. Les plans glissent les uns sur les autres au gré du vent de la course.

Promenades dans la Nièvre

Ce fut ma première rencontre avec la Nièvre, il y a bien des années ; mais ce ne fut pas la dernière…

Cette toile résume une promenade dans les champs, au-dessus de la maison.

C’est vraiment une très belle région, avec ses champs  qui grimpent a l’assaut des collines. Joie de découvrir à chaque fois un nouveau versant et de le mémoriser.

Ceci  peut aussi bien être considéré comme un portait de lieu. Mais sa struciure ne s’est découverte qu’à ma mémoire, refaisant dans ma tête les tours et détours  que nous avions suivis, mes compagnons et moi, dans ce village au nom si évocateur.

Promenades en Ile-de-France et dans Paris

Une belle journée de septembre, très chaude, au nord ouest de Paris, près de La Roche Guyon. Nous étions trois et suivions en file indienne un sentier crayeux. En contrebas, la Seine déroulait ses méandres à travers les champs. La marche des personnages est rythmée par les arbres qui jouent le rôle de barres de mesure.

Chaque printemps, le Parc Floral expose ses rhododendrons dans la pinède Or voici ce que ni la photo, ni le cinéma ne peuvent faire : rassembler dans une simultanéité le parcours capricieux des promeneurs autour des bosquets de pins et des massifs garnis de fleurs ; on peut espérer que les deux partenaires du rendez-vous finiront par se trouver !

Il fallait déjouer les pièges de la perspective classique, et faire avancer en quelque sorte l’espace découvert que l’on aperçoit entre les arbres de l’allée, et que traverse notre couple de promeneurs.

Le chemin tourne beaucoup dans ce paysage accidenté. Les plans glissent les uns sur les autres au gré du vent de la course.

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Musique et paysage dans la peinture

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Le Regard

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Sommets et abîmes  

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Promenades dans le midi méditerranéen

Albert Lichten - Plusieurs chemins pour descendre à la mer - 2005 - huile/toile - 92 x 73 cm

Il ne s’agit pas ici  de la vue plongeante d’un observateur immobile, mais d’une découverte successive – comme en témoigne la pluralité des points de fuite – qui est restituée dans une simultanéité.

Albert Lichten - Le grand escalier du Rayol- 2000 - huile/toile - 92 x 73 cm

Belle volée d’escaliers, bordée de lauriers roses, qui descend à la mer. Mais il ne s’agit pas, là non plus, de la vue plongeante d’un observateur immobile. Ce grand escalier peut simultanément être monté et descendu par le spectateur. Dans cette descente – ou montée – le promeneur grisé emporte avec lui tout l’espace environnant.

Albert Lichten - Champ d'amandiers dans le massif des Maures - 2000 - huile/toile - 92 x 73 cm

Il existe une route qui commence au col du Canadel et qui aboutit au-dessus du Lavandou : c’est la Route des Crêtes. Elle est boisée, fort belle, mais difficile, car sinueuse et bordée de précipices. Au détour d’un virage, j’ai vu apparaître peu à peu dans ce paysage aride et broussailleux, les couleurs tendres d’un champ d’amandiers. C’est la durée de cette découverte que j’ai voulu restituer. Et j’ai bien fait, car ce champ d’amandiers, sans doute peu rentable, a disparu depuis

Albert Lichten - Promeneurs dans le sentier côtier de Gigaro - 2002 - huile/toile - 60 x 73cm

Les horizons, les parties du paysage occultées ou découvertes, varient selon l’endroit où se trouve chaque promeneur dans sa marche.

Albert Lichten - En chemin vers le cap Lardier - 2004 - huile/toile - 60 x 73 cm

Pour accéder au cap Lardier, il faut se frayer un chemin dans un sentier très étroit, à travers une flore méditerranéenne très touffue. Le promeneur y disparaît vite à la vue.

Albert Lichten - Le retardataire - 2006 - huile/toile - 73 x 54 cm

Le trainard se hâte maintenant vers ses amis, qu’il aperçoit de l’autre côté de la dénivellation.

Albert Lichten - Joggers dans le chemin de terre de Gigaro I - 2005 - huile/toile - 73 x 50 cm

Le chemin tourne beaucoup dans ce paysage accidenté. Les plans glissent les uns sur les autres au gré du vent de la course.

Promenades dans la Nièvre

Albert Lichten - A la découverte de ta maison natale - 2002 - huile/toile - 73 x 60 cm

Ce fut ma première rencontre avec la Nièvre, il y a bien des années ; mais ce ne fut pas la dernière…

Albert Lichten - Dans la Nièvre, après la canicule - 2003 - huile/toile - 73 x 54 cm

Cette toile résume une promenade dans les champs, au-dessus de la maison.

Albert Lichten - A travers les collines de la Nièvre - 2004 - huile/toile - 73 x 54 cm

C’est vraiment une très belle région, avec ses champs  qui grimpent a l’assaut des collines. Joie de découvrir à chaque fois un nouveau versant et de le mémoriser.

Albert Lichten - Le tour des vignes de Saint Andelin - 2005 - huile/toile - 73 x 60cm
Albert Lichten - Les Lacs ( le village aux lacis ) - 2002 - huile/toile - 73 x 60 cm

Ceci  peut aussi bien être considéré comme un portait de lieu. Mais sa struciure ne s’est découverte qu’à ma mémoire, refaisant dans ma tête les tours et détours  que nous avions suivis, mes compagnons et moi, dans ce village au nom si évocateur.

Promenades en Ile-de-France et dans Paris

Albert Lichten - Au dessus des méandres de la Seine - 2001 - huile/toile - 92 x 73 cm

Une belle journée de septembre, très chaude, au nord ouest de Paris, près de La Roche Guyon. Nous étions trois et suivions en file indienne un sentier crayeux. En contrebas, la Seine déroulait ses méandres à travers les champs. La marche des personnages est rythmée par les arbres qui jouent le rôle de barres de mesure.

Albert Lichten - Rendez-vous aux rhododendrons du Parc Floral - 2004 - huile/toile - 92 x 73 cm

Chaque printemps, le Parc Floral expose ses rhododendrons dans la pinède Or voici ce que ni la photo, ni le cinéma ne peuvent faire : rassembler dans une simultanéité le parcours capricieux des promeneurs autour des bosquets de pins et des massifs garnis de fleurs ; on peut espérer que les deux partenaires du rendez-vous finiront par se trouver !

Albert Lichten - Couple traversant le square Le Gall à Paris - 2001 - huile/toile - 60 x 73 cm

Il fallait déjouer les pièges de la perspective classique, et faire avancer en quelque sorte l’espace découvert que l’on aperçoit entre les arbres de l’allée, et que traverse notre couple de promeneurs.

Sur le thème de la durée, il m’est difficile de présenter une série limitée de mes toiles, tant ce thème est dominant dans ma peinture, comme on a pu s’en rendre compte. Je me contenterai ici de quelques exemples, certans inspirés du midi méditerranéen, d’autres de la campagne – nivernaise.notamment- , d’autres de Paris et de ses alentours.

Promenades dans le midi méditerranéen

Il ne s’agit pas ici  de la vue plongeante d’un observateur immobile, mais d’une découverte successive – comme en témoigne la pluralité des points de fuite – qui est restituée dans une simultanéité.

Belle volée d’escaliers, bordée de lauriers roses, qui descend à la mer. Mais il ne s’agit pas, là non plus, de la vue plongeante d’un observateur immobile. Ce grand escalier peut simultanément être monté et descendu par le spectateur. Dans cette descente – ou montée – le promeneur grisé emporte avec lui tout l’espace environnant.

Il existe une route qui commence au col du Canadel et qui aboutit au-dessus du Lavandou : c’est la Route des Crêtes. Elle est boisée, fort belle, mais difficile, car sinueuse et bordée de précipices. Au détour d’un virage, j’ai vu apparaître peu à peu dans ce paysage aride et broussailleux, les couleurs tendres d’un champ d’amandiers. C’est la durée de cette découverte que j’ai voulu restituer. Et j’ai bien fait, car ce champ d’amandiers, sans doute peu rentable, a disparu depuis

Les horizons, les parties du paysage occultées ou découvertes, varient selon l’endroit où se trouve chaque promeneur dans sa marche.

Pour accéder au cap Lardier, il faut se frayer un chemin dans un sentier très étroit, à travers une flore méditerranéenne très touffue. Le promeneur y disparaît vite à la vue.

Le trainard se hâte maintenant vers ses amis, qu’il aperçoit de l’autre côté de la dénivellation.

Le chemin tourne beaucoup dans ce paysage accidenté. Les plans glissent les uns sur les autres au gré du vent de la course.

Promenades dans la Nièvre

Ce fut ma première rencontre avec la Nièvre, il y a bien des années ; mais ce ne fut pas la dernière…

Cette toile résume une promenade dans les champs, au-dessus de la maison.

C’est vraiment une très belle région, avec ses champs  qui grimpent a l’assaut des collines. Joie de découvrir à chaque fois un nouveau versant et de le mémoriser.

Ceci  peut aussi bien être considéré comme un portait de lieu. Mais sa struciure ne s’est découverte qu’à ma mémoire, refaisant dans ma tête les tours et détours  que nous avions suivis, mes compagnons et moi, dans ce village au nom si évocateur.

Promenades en Ile-de-France et dans Paris

Une belle journée de septembre, très chaude, au nord ouest de Paris, près de La Roche Guyon. Nous étions trois et suivions en file indienne un sentier crayeux. En contrebas, la Seine déroulait ses méandres à travers les champs. La marche des personnages est rythmée par les arbres qui jouent le rôle de barres de mesure.

Chaque printemps, le Parc Floral expose ses rhododendrons dans la pinède Or voici ce que ni la photo, ni le cinéma ne peuvent faire : rassembler dans une simultanéité le parcours capricieux des promeneurs autour des bosquets de pins et des massifs garnis de fleurs ; on peut espérer que les deux partenaires du rendez-vous finiront par se trouver !

Il fallait déjouer les pièges de la perspective classique, et faire avancer en quelque sorte l’espace découvert que l’on aperçoit entre les arbres de l’allée, et que traverse notre couple de promeneurs.

Le chemin tourne beaucoup dans ce paysage accidenté. Les plans glissent les uns sur les autres au gré du vent de la course.

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