On s’inquiète aujourd’hui de la manière dont notre industrie dispose de notre « environnement » planétaire. On s’interroge beaucoup moins sur la manière dont certains pans de « l’art contemporain » disposent du corps humain.
On s’inquiète aujourd’hui de la manière dont notre industrie dispose de notre « environnement » planétaire. On s’interroge beaucoup moins sur la manière dont certains pans de « l’art contemporain » disposent du corps humain.
On s’inquiète aujourd’hui de la manière dont notre industrie dispose de notre « environnement » planétaire. On s’interroge beaucoup moins sur la manière dont certains pans de « l’art contemporain » disposent du corps humain.