Albert Lichten

Albert Lichten

Ce site internet comporte en majeure partie les reproductions d'œuvres d'Albert Lichten, mais également, à des fins didactiques, des reproductions d'œuvres de grands peintres : El Greco, Jan Metsys, Rembrandt...

À propos

D’abord élève des académies Julian, Lhote et Goetz, c’est à la Grande Chaumière (pépinière de tant d’artistes de renom) qu’au cours des années soixante, Albert Lichten reçoit l’enseignement du peintre abstrait Busse et de Gilet, qui privilégie les effets de matière. Il ne s’écarte pas de son orientation figurative initiale, mais entreprend de lutter contre son penchant naturel pour la couleur en travaillant dans une gamme de gris et d’ocres, ce qui donne des œuvres telles que le Nu assis, vu de dos, sélectionné pour le prix Friesz en 1964 et le Grand nu qui figure en 1966 au salon des Indépendants.

« Durant tout le parcours du peintre, qui sera comme l’oscillation d’un pendule, entre couleur et construction spatiale, une obsession se fait jour, mainte fois abandonnée et de loin en loin, reprise : exprimer dans la peinture le passage insaisissable du temps ou son arrêt inattendu et insolite, et cela dans un sujet figuratif. »

 Monique CHEFDOR 

Albert Lichten - Autoportrait - 1974 -  huile sur toile - 73 x 60 cm

Les œuvres

Par thèmes

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Le parcours d'Albert Lichten

Depuis les années quatre vingt dix, Lichten poursuit sa recherche dans ce qu’il considère comme l’invention majeure des cubistes, l’expression plastique du temps.

salons d’art plastique

Il s’est manifesté dans les Salons d’art plastique depuis 1963 : Salon de l’Art Libre, Salon des Indépendants (de 1966 è 1971), Salon des Artistes Français (1994), Salon d’Automne (de 1992 è 1996), Foire Internationale de Gand (2005) etc.

Études de philosophie

Il a dans le même temps poursuivi ses études de philosophie et obtenu l’agrégation en 1965.

expositions

Ses expositions particulières commencent en 1976, avec celle de la galerie Cambacérès (rue La Boëtie, Paris) aujourd’hui disparue. Elles se succèdent tout au long des années. Citons : le Musée Duhamel à Mantes-la-Jolie (1993), la galerie Art Conseil avenue Georges V (1994), la galerie Façade rue Beaubourg (1996), la galerie Etienne de Causans rue de Seine (1997 et 1998) la galerie La Capitale rue du Roule (2005 et 2011), la galerie du Montparnasse 55 rue du Montparnasse, (2007 et 2012) etc.

publications

Il a publié en 2004 un livre où il traite des problèmes cruciaux de la peinture : « Le Signe et le Tableau » (éditions Honoré Champion)

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albert.lichten@noos.fr

Téléphone

0153801788

Adress

61 Milner Road Woodland, Michigan 48470

Depuis les années quatre vingt dix, Lichten poursuit sa recherche dans ce qu’il considère comme l’invention majeure des cubistes, l’expression plastique du temps.

Il s’est manifesté dans les Salons d’art plastique depuis 1963 : Salon de l’Art Libre, Salon des Indépendants (de 1966 è 1971), Salon des Artistes Français (1994), Salon d’Automne (de 1992 è 1996), Foire Internationale de Gand (2005) etc.

Il a dans le même temps poursuivi ses études de philosophie et obtenu l’agrégation en 1965.

Ses expositions particulières commencent en 1976, avec celle de la galerie Cambacérès (rue La Boëtie, Paris) aujourd’hui disparue. Elles se succèdent tout au long des années. Citons : le Musée Duhamel à Mantes-la-Jolie (1993), la galerie Art Conseil avenue Georges V (1994), la galerie Façade rue Beaubourg (1996), la galerie Etienne de Causans rue de Seine (1997 et 1998) la galerie La Capitale rue du Roule (2005 et 2011), la galerie du Montparnasse 55 rue du Montparnasse, (2007 et 2012) etc.

Il a publié en 2004 un livre où il traite des problèmes cruciaux de la peinture : « Le Signe et le Tableau » (éditions Honoré Champion) 

La durée – présence en un lieu

La durée – présence en un lieu

L’éclair et l’entr’aperçu

L’éclair et l’entr’aperçu

Nocturnes parisiens

Nocturnes parisiens

L’éclair et la durée

L’éclair et la durée

« Voir, c’est avoir vu » (Suite)

« Voir, c’est avoir vu » (Suite)

Le long des canaux

Le long des canaux

Maternités

Maternités

Femmes

Femmes

Albert LICHTEN - Poète et nymphe - 1983 - 120x60 cm
Albert Lichten - David et Bethsabée - 1994 - huile/toile - 81 x 100cm
Albert Lichten - Le peintre à Bormes les Mimosas - 2005 -huile sur toile 80 x 80 cm
Albert Lichten - Maternité I -1973 - huile sur toile
Albert LICHTEN - Poète et nymphe - 1983 - 120x60 cm
Albert Lichten - Mon bien aimé est descendu dans son jardin – 2006 – huile sur toile

D’abord élève des académies Julian, Lhote et Goetz, c’est à la Grande Chaumière (pépinière de tant d’artistes de renom) qu’au cours des années soixante, Albert Lichten reçoit l’enseignement du peintre abstrait Busse et de Gilet, qui privilégie les effets de matière. Il ne s’écarte pas de son orientation figurative initiale, mais entreprend de lutter contre son penchant naturel pour la couleur en travaillant dans une gamme de gris et d’ocres, ce qui donne des oeuvres telles que le Nu assis, vu de dos, sélectionné pour le prix Friesz en 1964 et le Grand nu qui figure en 1966 au salon des Indépendants.

« Durant tout le parcours du peintre, qui sera comme l’oscillation d’un pendule, entre couleur et construction spatiale, une obsession se fait jour, mainte fois abandonnée et de loin en loin, reprise : exprimer dans la peinture le passage insaisissable du temps ou son arrêt inattendu et insolite, et cela dans un sujet figuratif. »

 Monique CHEFDOR

Albert Lichten - Autoportrait - 1974 -  huile sur toile - 73 x 60 cm
Albert Lichten - Autoportrait - 1974 -  huile sur toile - 73 x 60 cm

D’abord élève des académies Julian, Lhote et Goetz, c’est à la Grande Chaumière (pépinière de tant d’artistes de renom) qu’au cours des années soixante, Albert Lichten reçoit l’enseignement du peintre abstrait Busse et de Gilet, qui privilégie les effets de matière. Il ne s’écarte pas de son orientation figurative initiale, mais entreprend de lutter contre son penchant naturel pour la couleur en travaillant dans une gamme de gris et d’ocres, ce qui donne des oeuvres telles que le Nu assis, vu de dos, sélectionné pour le prix Friesz en 1964 et le Grand nu qui figure en 1966 au salon des Indépendants.

« Durant tout le parcours du peintre, qui sera comme l’oscillation d’un pendule, entre couleur et construction spatiale, une obsession se fait jour, mainte fois abandonnée et de loin en loin, reprise : exprimer dans la peinture le passage insaisissable du temps ou son arrêt inattendu et insolite, et cela dans un sujet figuratif. »

 Monique CHEFDOR