Les tableaux dont je montre ici les reproductions résultent de travaux alimentés par des souvenirs et des visions sucitées par la vue d’une nature parfois sauvage et abrupte..
Les deux personnages longent un abîme au delà duquel se dresse une montagne massive. On notera à droite, comme suspendu à mi-hauteur, le refuge avec un troisième personnage : réminiscence des retraites bouddhiques de la peinture chinoise traditionnelle.
Une journée froide. Les promeneurs du premier plan anticipent le surgissement du massif rocheux, qui apparaîtra après le tournant. Je pense avoir rendu la sensation d’immersion dans le paysage.
Il y a bien des années, me promenant sur la Pointe du Raz, par gros temps, j’ai eu la sensation du sublime, c’est à dire cette alliance de souffrance et de jouissance devant un spectacle démesuré et sauvage. J’ai cherché à la restituer en plaçant le regard au niveau d’une nuée de mouettes.
J’ai pensé que l’ampleur du décor était à la mesure de ces filles du Titan Océan et de la nymphe Thétis
Les tableaux dont je montre ici les reproductions résultent de travaux alimentés par des souvenirs et des visions sucitées par la vue d’une nature parfois sauvage et abrupte..
Les deux personnages longent un abîme au delà duquel se dresse une montagne massive. On notera à droite, comme suspendu à mi-hauteur, le refuge avec un troisième personnage : réminiscence des retraites bouddhiques de la peinture chinoise traditionnelle.
Une journée froide. Les promeneurs du premier plan anticipent le surgissement du massif rocheux, qui apparaîtra après le tournant. Je pense avoir rendu la sensation d’immersion dans le paysage.
Il y a bien des années, me promenant sur la Pointe du Raz, par gros temps, j’ai eu la sensation du sublime, c’est à dire cette alliance de souffrance et de jouissance devant un spectacle démesuré et sauvage. J’ai cherché à la restituer en plaçant le regard au niveau d’une nuée de mouettes.
J’ai pensé que l’ampleur du décor était à la mesure de ces filles du Titan Océan et de la nymphe Thétis