» … Je brûle pour sa délicieuse effronterie. »
Horace
« … quand sortit, suffisant à donner, Léonore,
un corps au vent, aux pierres une âme,
en sortant, de son riche abri, sitôt
Je n’endentis plus les oiseaux, ne vis l’Aurore ;
parce que sortie, tout devint calme,
ou moi (ce qui est plus certain), sourd et aveugle …«
Gondora
« … Pourvu
Que tu me rendes ton amitié, que tu me rendes mon âme… »
Horace
Ceci est une toile monde.
» … Je brûle pour sa délicieuse effronterie. »
Horace
« … quand sortit, suffisant à donner, Léonore,
un corps au vent, aux pierres une âme,
en sortant, de son riche abri, sitôt
Je n’endentis plus les oiseaux, ne vis l’Aurore ;
parce que sortie, tout devint calme,
ou moi (ce qui est plus certain), sourd et aveugle …«
Gondora
« … Pourvu
Que tu me rendes ton amitié, que tu me rendes mon âme… »
Horace
Ceci est une toile monde.