Albert Lichten

Le long des canaux

Sommaire

 L’un de mes thèmes récurrents est celui de la promenade. En voici une illustration avec ces tableaux de parcours le long des canaux dans les parcs de la région parisienne.

 

 

Albert Lichten - Le long des canaux du parc de Sceaux - 2001- huile/toile - 73x60cm

Il s’agit ici d’une vue de parcours, qui n’est ni une vue d’avion (simple aperçu géographique), ni  la vue propre à un observateur immobile, telle que la met en place la perspective classique. La récollection, oeuvre de la mémoire, y joue, bien sûr, un rôle essentiel.  » La profondeur est toujours neuve, elle exige qu’on la cherche (…) Il ne peut s’agir de l’intervalle sans mystère que je verrais d’un avion entre ces arbres proches et lointains. Ni  de l’escamotage des choses l’une par l’autre que me représente vivement un dessin perspectif (…) » ( Maurice Merleau-Ponty – L’oeil et l’esprit)

Albert Lichten - Le tour du canal aux abords du bois de Boulogne

Cette toile est également la récollection d’un parcours. Au mépris de la perspective classique, l’horizon y est recourbé en fer à cheval. Remarquez les promeneurs, au nombre de cinq. Les plus petits longent le bout du canal .  

Albert Lichten - Parc de Sceaux- dans une allée latérale au canal - 2006 -huile/toile - 73x60cm

C’est l’automne. Engagé déjà dans l’allée latérale, le promeneur ne peut plus voir le canal, dont il vient de quitter la rive. Mais ce canal est bien présent dans sa mémoire. C’est pourquoi je l’ai fait scintiller entre les arbres. Le peintre crée son espace.

 

Albert Lichten - Parc de Sceaux- D'un bassin à l'autre - 2008 -huile/toile - 73x60cm

Cette silhouette qui passe à travers les gros platanes incarne ce moment de bascule où la vision d’un lieu vient se substituer à celle de l’autre.       

Albert Lichten - Parc de Sceaux - En allant vers le bout du canal - 2009 -huile/toile - 73x60cm

La promeneuse marche face au soleil d’hiver, ombre légère dans le flot de lumière.L’espace se courbe pour donner son ampleur au bassin qui constitue l’extrémité du canal, et vers lequel elle va               

 

 

 

 L’un de mes thèmes récurrents est celui de la promenade. En voici une illustration avec ces tableaux de parcours le long des canaux dans les parcs de la région parisienne.

 

 

Il s’agit ici d’une vue de parcours, qui n’est ni une vue d’avion (simple aperçu géographique), ni  la vue propre à un observateur immobile, telle que la met en place la perspective classique. La récollection, oeuvre de la mémoire, y joue, bien sûr, un rôle essentiel.  » La profondeur est toujours neuve, elle exige qu’on la cherche (…) Il ne peut s’agir de l’intervalle sans mystère que je verrais d’un avion entre ces arbres proches et lointains. Ni  de l’escamotage des choses l’une par l’autre que me représente vivement un dessin perspectif (…) » ( Maurice Merleau-Ponty – L’oeil et l’esprit)

Cette toile est également la récollection d’un parcours. Au mépris de la perspective classique, l’horizon y est recourbé en fer à cheval. Remarquez les promeneurs, au nombre de cinq. Les plus petits longent le bout du canal .  

C’est l’automne. Engagé déjà dans l’allée latérale, le promeneur ne peut plus voir le canal, dont il vient de quitter la rive. Mais ce canal est bien présent dans sa mémoire. C’est pourquoi je l’ai fait scintiller entre les arbres. Le peintre crée son espace.

 

Cette silhouette qui passe à travers les gros platanes incarne ce moment de bascule où la vision d’un lieu vient se substituer à celle de l’autre.       

La promeneuse marche face au soleil d’hiver, ombre légère dans le flot de lumière.L’espace se courbe pour donner son ampleur au bassin qui constitue l’extrémité du canal, et vers lequel elle va               

 

 

 

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Albert Lichten - Le long des canaux du parc de Sceaux - 2001- huile/toile - 73x60cm

Il s’agit ici d’une vue de parcours, qui n’est ni une vue d’avion (simple aperçu géographique), ni  la vue propre à un observateur immobile, telle que la met en place la perspective classique. La récollection, oeuvre de la mémoire, y joue, bien sûr, un rôle essentiel.  » La profondeur est toujours neuve, elle exige qu’on la cherche (…) Il ne peut s’agir de l’intervalle sans mystère que je verrais d’un avion entre ces arbres proches et lointains. Ni  de l’escamotage des choses l’une par l’autre que me représente vivement un dessin perspectif (…) » ( Maurice Merleau-Ponty – L’oeil et l’esprit)

Albert Lichten - Le tour du canal aux abords du bois de Boulogne

Cette toile est également la récollection d’un parcours. Au mépris de la perspective classique, l’horizon y est recourbé en fer à cheval. Remarquez les promeneurs, au nombre de cinq. Les plus petits longent le bout du canal .  

Albert Lichten - Parc de Sceaux- dans une allée latérale au canal - 2006 -huile/toile - 73x60cm

C’est l’automne. Engagé déjà dans l’allée latérale, le promeneur ne peut plus voir le canal, dont il vient de quitter la rive. Mais ce canal est bien présent dans sa mémoire. C’est pourquoi je l’ai fait scintiller entre les arbres. Le peintre crée son espace.

 

Albert Lichten - Parc de Sceaux- D'un bassin à l'autre - 2008 -huile/toile - 73x60cm

Cette silhouette qui passe à travers les gros platanes incarne ce moment de bascule où la vision d’un lieu vient se substituer à celle de l’autre.       

Albert Lichten - Parc de Sceaux - En allant vers le bout du canal - 2009 -huile/toile - 73x60cm

La promeneuse marche face au soleil d’hiver, ombre légère dans le flot de lumière.L’espace se courbe pour donner son ampleur au bassin qui constitue l’extrémité du canal, et vers lequel elle va               

 

 

 

 L’un de mes thèmes récurrents est celui de la promenade. En voici une illustration avec ces tableaux de parcours le long des canaux dans les parcs de la région parisienne.

 

 

Il s’agit ici d’une vue de parcours, qui n’est ni une vue d’avion (simple aperçu géographique), ni  la vue propre à un observateur immobile, telle que la met en place la perspective classique. La récollection, oeuvre de la mémoire, y joue, bien sûr, un rôle essentiel.  » La profondeur est toujours neuve, elle exige qu’on la cherche (…) Il ne peut s’agir de l’intervalle sans mystère que je verrais d’un avion entre ces arbres proches et lointains. Ni  de l’escamotage des choses l’une par l’autre que me représente vivement un dessin perspectif (…) » ( Maurice Merleau-Ponty – L’oeil et l’esprit)

Cette toile est également la récollection d’un parcours. Au mépris de la perspective classique, l’horizon y est recourbé en fer à cheval. Remarquez les promeneurs, au nombre de cinq. Les plus petits longent le bout du canal .  

C’est l’automne. Engagé déjà dans l’allée latérale, le promeneur ne peut plus voir le canal, dont il vient de quitter la rive. Mais ce canal est bien présent dans sa mémoire. C’est pourquoi je l’ai fait scintiller entre les arbres. Le peintre crée son espace.

 

Cette silhouette qui passe à travers les gros platanes incarne ce moment de bascule où la vision d’un lieu vient se substituer à celle de l’autre.       

La promeneuse marche face au soleil d’hiver, ombre légère dans le flot de lumière.L’espace se courbe pour donner son ampleur au bassin qui constitue l’extrémité du canal, et vers lequel elle va               

 

 

 

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