Albert Lichten

Homme, femme, et rochers

Sommaire

La peinture de la Renaissance a beau être naturaliste, sa rhétorique l’amène à donner un statut privilégié à la figure humaine, en particulier dans la répartition de l’éclairage. Ainsi en est-il de cette superbe toile du Titien, Saint Jérome au désert :

Titien - St Jerome au desert

Le décor de rochers, bien que doté de vérité naturaliste, reste discrètement indiqué, alors que la figure du saint, ainsi que son livre, attirent à eux la plus grande charge de lumière.

Mon parti-pris est différent. Pour moi les rochers ne sont plus un décor, je tends à créer un entrelacs entre le corps humain et le rocher.

Albert Lichten - Jeune homme sur un rocher - 73 x 60cm - 1992

Dans cette toile de 1992, encore cézanienne, j’applique à un motif masculin la maxime du grand peintre : « marier les épaules des femmes aux courbes des collines ».

Albert Lichten - Homme dans les rochers sur une branche d'arbre I - 73 x 92cm - 1997

On notera l’inspiration pour aisi dire panthéiste de ce tableau. La couleur des rochers est saturée; leurs angles sont tranchants.Ils affirment leur poids et leur présence. L’homme se sert de ses muscles pour se maintenir en équilibre sur la branche, et pourtant il s’absorbe dans sa rêverie et dans le paysage dont il fait partie.

Albert Lichten - Homme dans les rochers sur une branche d'arbre II - 73 x 60cm - 2005

Même sujet que précédemment, mais traité cette fois dans un esprit résolument cubiste, cequi implique une pluridimensionnalité qui assure l’interpénétration desespaces. C’est là une manière d’exprimer l’union intime du personnage er du paysage rocheux qui l’enveloppe.

Albert Lichten - La femme au rocher - 61 x 50cm - huile sur toile -1999

Dans cette toile, il n’y a pas non plus de dominance de la figure humaine, mais confrontation entre différentes textures : charnelle, rocheuse, végétale, aquatique.

La peinture de la Renaissance a beau être naturaliste, sa rhétorique l’amène à donner un statut privilégié à la figure humaine, en particulier dans la répartition de l’éclairage. Ainsi en est-il de cette superbe toile du Titien, Saint Jérome au désert :

Le décor de rochers, bien que doté de vérité naturaliste, reste discrètement indiqué, alors que la figure du saint, ainsi que son livre, attirent à eux la plus grande charge de lumière.

Mon parti-pris est différent. Pour moi les rochers ne sont plus un décor, je tends à créer un entrelacs entre le corps humain et le rocher.

Dans cette toile de 1992, encore cézanienne, j’applique à un motif masculin la maxime du grand peintre : « marier les épaules des femmes aux courbes des collines ».

On notera l’inspiration pour aisi dire panthéiste de ce tableau. La couleur des rochers est saturée; leurs angles sont tranchants.Ils affirment leur poids et leur présence. L’homme se sert de ses muscles pour se maintenir en équilibre sur la branche, et pourtant il s’absorbe dans sa rêverie et dans le paysage dont il fait partie.

Même sujet que précédemment, mais traité cette fois dans un esprit résolument cubiste, cequi implique une pluridimensionnalité qui assure l’interpénétration desespaces. C’est là une manière d’exprimer l’union intime du personnage er du paysage rocheux qui l’enveloppe.

Dans cette toile, il n’y a pas non plus de dominance de la figure humaine, mais confrontation entre différentes textures : charnelle, rocheuse, végétale, aquatique.

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Le Regard

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Sommets et abîmes  

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Le décor de rochers, bien que doté de vérité naturaliste, reste discrètement indiqué, alors que la figure du saint, ainsi que son livre, attirent à eux la plus grande charge de lumière.

Mon parti-pris est différent. Pour moi les rochers ne sont plus un décor, je tends à créer un entrelacs entre le corps humain et le rocher.

Albert Lichten - Jeune homme sur un rocher - 73 x 60cm - 1992

Dans cette toile de 1992, encore cézanienne, j’applique à un motif masculin la maxime du grand peintre : « marier les épaules des femmes aux courbes des collines ».

Albert Lichten - Homme dans les rochers sur une branche d'arbre I - 73 x 92cm - 1997

On notera l’inspiration pour aisi dire panthéiste de ce tableau. La couleur des rochers est saturée; leurs angles sont tranchants.Ils affirment leur poids et leur présence. L’homme se sert de ses muscles pour se maintenir en équilibre sur la branche, et pourtant il s’absorbe dans sa rêverie et dans le paysage dont il fait partie.

Albert Lichten - Homme dans les rochers sur une branche d'arbre II - 73 x 60cm - 2005

Même sujet que précédemment, mais traité cette fois dans un esprit résolument cubiste, cequi implique une pluridimensionnalité qui assure l’interpénétration desespaces. C’est là une manière d’exprimer l’union intime du personnage er du paysage rocheux qui l’enveloppe.

Albert Lichten - La femme au rocher - 61 x 50cm - huile sur toile -1999

Dans cette toile, il n’y a pas non plus de dominance de la figure humaine, mais confrontation entre différentes textures : charnelle, rocheuse, végétale, aquatique.

La peinture de la Renaissance a beau être naturaliste, sa rhétorique l’amène à donner un statut privilégié à la figure humaine, en particulier dans la répartition de l’éclairage. Ainsi en est-il de cette superbe toile du Titien, Saint Jérome au désert :

Le décor de rochers, bien que doté de vérité naturaliste, reste discrètement indiqué, alors que la figure du saint, ainsi que son livre, attirent à eux la plus grande charge de lumière.

Mon parti-pris est différent. Pour moi les rochers ne sont plus un décor, je tends à créer un entrelacs entre le corps humain et le rocher.

Dans cette toile de 1992, encore cézanienne, j’applique à un motif masculin la maxime du grand peintre : « marier les épaules des femmes aux courbes des collines ».

On notera l’inspiration pour aisi dire panthéiste de ce tableau. La couleur des rochers est saturée; leurs angles sont tranchants.Ils affirment leur poids et leur présence. L’homme se sert de ses muscles pour se maintenir en équilibre sur la branche, et pourtant il s’absorbe dans sa rêverie et dans le paysage dont il fait partie.

Même sujet que précédemment, mais traité cette fois dans un esprit résolument cubiste, cequi implique une pluridimensionnalité qui assure l’interpénétration desespaces. C’est là une manière d’exprimer l’union intime du personnage er du paysage rocheux qui l’enveloppe.

Dans cette toile, il n’y a pas non plus de dominance de la figure humaine, mais confrontation entre différentes textures : charnelle, rocheuse, végétale, aquatique.

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