Le promeneur grimpe les marches de l’escalier ; au sommet, une jeune femme lisant, immergée dans ce square parisien. Le regard a son gîte entre la vision du promeneur ( absent de la toile ) et celle de la jeune femme, qui lève de temps à autre les yeux de son livre, pour jouir de cette belle journée d’automne.
La vieille ratteleuse reste là, oubliée depuis longtemps. Bien sûr, elle est immobile, mais elle confronte sa durée avec celle du paysage, qui l’imprègne peu à peu.
Le promeneur grimpe les marches de l’escalier ; au sommet, une jeune femme lisant, immergée dans ce square parisien. Le regard a son gîte entre la vision du promeneur ( absent de la toile ) et celle de la jeune femme, qui lève de temps à autre les yeux de son livre, pour jouir de cette belle journée d’automne.
La vieille ratteleuse reste là, oubliée depuis longtemps. Bien sûr, elle est immobile, mais elle confronte sa durée avec celle du paysage, qui l’imprègne peu à peu.